On peut donner différentes définition d'un algorithme en voila une :
Algorithme
Un algorithme est une suite d’instructions élémentaires appliquées dans un ordre déterminé portant sur un nombre fini de données pour arriver, en un nombre fini d'étapes, à un certain résultat.
Les premiers algorithmes ont été développés bien avant l'émergence de l'informatique et même bien avant le grand savant Muhammad ibn Musa al-Khwârizmî dont le nom latinisé a donné le mot algorithme.
De plus, vous manipulez des algorithmes
depuis votre prime enfance : une recette de cuisine est un exemple concret d'algorithme !
Euclide a proposé entre autre un algorithme, encore utilisé de nos jours, permettant le plus grand commun diviseur (le PGCD) entre deux nombres entiers. Vous avez vu cet algorithme d'Euclide au collège. Voici une illustration de cet algorithme :
Le mot algorithme vient du nom latinisé du grand mathématicien Al-Khwârizmî .
Ce savant ayant
vécu entre 780 et 850 fut membre de la Maison de la Sagesse de Bagdad. Il répertoria les algorithmes connus à son époque et, entre autres travaux, il fut l’auteur entre autre de deux livres importants :
Exaspéré par les nombreuses erreurs présentes dans les tables utilisées pour faire des calculs compliqués en sciences (astronomie, physique, ...), l'anglais Charles Babbage conçoit les plans d'une machine capable de calculer puis d'éditer les valeurs
de fonctions polynomiales.
Ada Lovelace, la fille du poète Lord Byron, travaille un temps avec Charles Baggage et écrit en 1843 le premier algorithme exécutable sur une machine : c'est le premier programme informatique !
Le concept de machine universelle, capable d’exécuter tous les algorithmes est développé par Alan Turing. Les notions de machine, d'algorithme, de langage et d'information sont pensées désormais comme un tout cohérent.
La première machine électronique, le Colossus, a été construite en 1943 en Angleterre et a été utilisé pour décrypter les codes secrets allemands fondés sur la machine Enigma.
Le premier ordinateur suivant l'architecture de Von Neumann est construite aux États-Unis. C'étaient surtout des femmes qui travaillaient dans la programmation des premiers ordinateurs.
Le seul langage directement utilisable par le processeur des ordinateurs est le langage machine (abordé brièvement plus tard cette année).
Pour faciliter la communication d'informations avec un ordinateur, des informaticiens ont créé
des
langages dits de haut niveau qui sont plus simples à utiliser, car plus proches du langage naturel.
Il y en a un très grand nombre (FORTRAN (1955), C (1972), PHP (1994), JAVA (1995), Javascript (1995), ... )
Celui que vous utiliserez énormément cette année est le langage PYTHON, créé en 1991 par Guido Von Rossum.
Puisqu'il y a un très grand nombre de langages différents, il est commode d'utiliser une sorte de lingua franca qui permet d'écrire un algorithme dans un langage "universel". Le pseudo-code sert à cela !
Le pseudo-code est un langage pour exprimer clairement et formellement un algorithme.
Ce langage est près d'un langage de programmation comme Pascal, C# ou C++, sans être identique à l'un ou à l'autre. Il exprime des idées formelles dans
une langue près du langage naturel de ses usagers (pour nous, le français) en lui imposant une forme rigoureuse.
Il n'y a pas de standard normalisé mais seulement des conventions partagées par un plus grand nombre de programmeurs.
Corriger le pseudo-code suivant :
1 a et B sont des entiers 2 A ← 4 ; LIRE B 3 C'est une variable ← A+B; 4 ÉCRIRE c'est une variable
Dans un programme informatique, on va avoir en permanence besoin de stocker provisoirement des valeurs. Il peut s’agir de données issues du disque dur, fournies par l’utilisateur (frappées au clavier), ou que sais-je encore. Il peut aussi s’agir de résultats obtenus par le programme, intermédiaires ou définitifs. Ces données peuvent être de plusieurs types (on en reparlera) : elles peuvent être des nombres, du texte, etc. Toujours est-il que dès que l’on a besoin de stocker une information au cours d’un programme, on utilise une variable.
Pour employer une image, une variable est une boîte, que le programme (l’ordinateur) va repérer par une étiquette. Pour avoir accès au contenu de la boîte, il suffit de la désigner par son étiquette.
Ainsi, ci-dessous la variable $x$ est
l'étiquette d'une boîte contenant l'entier 5.
En réalité, dans la mémoire vive de l’ordinateur, il n’y a bien sûr pas une vraie boîte, et pas davantage de vraie étiquette collée dessus (j’avais bien prévenu que la boîte et l’étiquette, c’était une image). Dans l’ordinateur, physiquement,
il y a un emplacement de mémoire, repéré par une adresse binaire. Si on programmait dans un langage directement compréhensible par la machine, on devrait se fader de désigner nos données par de superbes 0010 (souvent écrit en héxadécimal 0002)
ou 10011011 (enchanté !).
Ainsi ci-dessous, la variable nommée $x$ fait référence à l'emplacement de mémoire dont l'adresse en hexadécimale est 0002. Cet emplacement mémoire stocke le nombre 5.
Mauvaise nouvelle : de tels langages existent ! Ils portent le doux nom d’assembleur.
Bonne
nouvelle : ce ne sont pas les seuls langages disponibles.
Les langages informatiques plus évolués (ce sont ceux que presque tout le monde emploie) se chargent précisément, entre autres rôles, d’épargner au programmeur la gestion fastidieuse des emplacements mémoire et de leurs adresses. Et, comme vous commencez à le comprendre, il est beaucoup plus facile d’employer les étiquettes de son choix, que de devoir manier des adresses binaires.
Il existe de nombreux types de variables utilisés :
types | Remarques |
---|---|
booléen | vrai ou faux |
caractère | symbole typographique |
chaîne de caractères | ensemble de caractères entre " " |
entier | entiers relatifs |
flottant | "Utilisé pour les réels" |
Il existe d'autres types de variables. Le fait de déclarer en pseudo-code le type de la variable n'est pas une obligation, mais vous le verrez dans de nombreux sites car de nombreux langages de programmation nécessitent un typage strict.
Le langage PYTHON est auto-typé, c'est-à-dire le typage se fait lors de l'affectation.
Comme vu précédemment, en pseudo-code, l'instruction d'affectation se note avec le signe ←
On attribue la valeur 40 à la variable toto
Il existe différentes manières de réaliser une trace de programme et/ou d'algorithme. Une trace :
Dans la mesure du possible, on peut organiser une trace d'exécution d'un algorithme en constituant un tableau avec toutes les variables de l'algorithme. Il faut numéroter toutes les lignes de votre algorithme. En colonne, il faut indiquer le nom des variables et en ligne les numéros de ligne.
1 pv_player ← 40 2 attack ← 10 3 pv_player ← pv_player - attack 4 attack ← 2 x attack 5 pv_player ← pv_player - attack
Regarder la vidéo, elle vous montre comment faire une trace d'exécution.
Cette instruction conditionnelle teste une expression booléenne (condition après le if) et exécute soit un bloc d'instruction(s) si la condition est vraie (bloc 1 après le then) soit un éventuel autre bloc d'instruction(s) si la condition est fausse (bloc 2 après le else)
1 if condition then 2 bloc 1 3 else 4 bloc 2
Voici une manière imagée de visualiser cette instruction :
Ce principe sera utilisé en langage PYTHON.
Vous pouvez pratiquer du pseudo-code en français ou utiliser l'anglais (il faut vous habituer à lire du pseudo-code en anglais).
Une version francisée avec une identification des blocs différents pourrait être :
1 si condition alors 2 bloc 1 3 sinon 4 bloc 2
Une autre manière de visualiser cette instruction, sous forme d'algorigramme :
1 LIRE a 2 if a>0 then 3 ÉCRIRE "a positif" 4 else 5 ÉCRIRE "a négatif"
Voici la trace d'exécution de cet algorithme :1 pv_player ← 40 2 attack ← 10 3 si pv_player > 0 alors 4 pv_player ← pv_player-attack 5 sinon 6 ÉCRIRE "Game Over"
L'instruction Pour est utilisée lorsque le nombre d'itérations est connu à l'avance : elle initialise un compteur, l'incrémente (c'est-à-dire l'augmente de 1) après chaque exécution du bloc d'instructions, et vérifie que le compteur ne dépasse pas la borne supérieure.
1 for compteur←entier1 to entier2 2 bloc d'instructions
On peut préciser le pas d'incrémentation du compteur. Par défaut le pas est de 1. Le mot clé en anglais pour le pas est le mot STEP.
Voici une illustration de l'algorithme suivant :
1 for i←1 to 4 2 bloc d'instructions
1 for i←0 to 9 2 ÉCRIRE i
Voici la trace d'exécution de cet algorithme :1 pv_player ← 40 2 for i←0 to 3 3 pv_player ← pv_player-5
L'instruction While est utilisée lorsque le nombre d'itérations n'est connu à l'avance : elle répète l'exécution le bloc d'instructions tant que la condition est vraie.
1 while condition vraie 2 bloc d'instructions
Une manière de visualiser cette instruction, sous forme d'algorigramme :
1 i ← 0 2 while i*i < 50 3 ÉCRIRE i*i 4 i ← i+1
r←0 while r*r<= n r←r+1 r←r-1
Il faut commencer par numéroter toutes les lignes de l'algorithme.
1 r←0 2 while r*r<= n 3 r←r+1 4 r←r-1
Voici une trace de l'algorithme avec n=5. quelle est la valeur de la variable r ?
#ligne | n | r | Tests/Commentaires |
---|---|---|---|
1 | 5 | 0 | Initialisation |
2 | 5 | 0 | 0*0 <=5 , on entre dans la ligne 3 |
3 | 5 | 1 | r←1 |
2 | 5 | 1 | 1*1 <=5 , on entre dans la ligne 3 |
3 | 5 | 2 | r←2 |
2 | 5 | 2 | 2*2 <=5 , on entre dans la ligne 3 |
3 | 5 | 3 | r←3 |
2 | 5 | 3 | 3*3>5 , on sort de la boucle |
4 | 5 | 2 | r←2 |
À la fin de l'algorithme, la variable r a pour valeur 2
Il faut prendre l'habitude de commenter ses algorithmes et ses programmes.
Voici l'algorithme sans les commentaires :
1 n←O 2 p←50 3 while p<100 4 p←p*1.1 5 n←n+1 6 ÉCRIRE n
Il existe différentes façons de noter un commentaire : //
, #
,
<- ->
Voici l'algorithme avec les commentaires :
// Cet algorithme cherche la valeur de n pour que p passe de 50 à 100 avec une augmentation de 10% 1 n←O //Initialisation de n 2 p←50 //Initialisation de p 3 while p<100 4 p←p*1.1 //p suivie de 10 % d'augmentation 5 n←n+1 //Incrémentation de n 6 ÉCRIRE n
Avec trop de commentaires, le code devient illisible. Sans commentaire, le code est incompréhensible. A vous de trouver le juste milieu.
Commenter le code suivant :
1 S←0 2 for i←1 to 10 3 S←S+1 4 ÉCRIRE S
En vous inspirant de l'exemple ci dessus, réaliser une trace de l'algorithme qui suit avec $n=20$.
1 r←0 2 while r*r<= n 3 r←r+1 4 r←r-1
Vous avez également un espace pour tester votre code à l'aide du langage Python.
Pour exécuter le code il faut appuyer sur Run
. Vous pouvez également modifier le code.
Pour vous aider, il existe des plateformes logicielles qui exécutent les codes "pas à pas", un peu à la manière d'une trace d'exécution.
Ces plateformes sont très utiles pour trouver des erreurs.
Pour vous aider voici un algorithme (donné en évaluation) avec sa trace :
Un autre exemple avec un appel de fonction :
Écrire un algorithme en pseudo code qui calcule la moyenne de trois nombres $a$, $b$ et $c$. Le résultat sera stocké dans une variable $m$.
Écrire un algorithme qui renvoie le max de deux nombres $a$ et $b$. Le résultat sera stocké dans une variable $max$.
Écrire un algorithme qui demande un nombre entier non nul de départ, et qui calcule la somme des entiers jusqu’à ce nombre. Par exemple, si l’on entre 5, le programme doit calculer : 1 + 2 + 3 + 4 + 5 = 15.
Écrire un algorithme qui stocke dans une variable $max$ le maximum de trois variables $a$, $b$ et $c$ données.
Trouver la maladresse (voire l'erreur) dans l'algorithme suivant :
1 for truc ← 1 to 10 2 truc ← truc * 2
Regardez l'exécution en python de cet algorithme :
Trouver l'erreur dans l'algorithme suivant :
1 while i > 0 2 i ← i - 1
Il existe un type list en python (en fait c'est plutôt un type tableau en informatique).
Pour définir un tableau/liste on écrira les élément entre crochets :
Le premier élément de la liste est le nombre 3 et le dernier élément est le nombre 8. Il y a 5 éléments dans cette liste.
Attention les cases sont numérotées à partir de 0. L’indice du nombre 3 est le nombre 0. L’indice du nombre 8 est le nombre 4. Nous verrons plus tard quelle en est la raison.
On peut utiliser les notations suivantes :
liste1[0]=3 ; liste1[1]=5 ; ………. ; liste1[4]=8
Voici un exemple qui peut vous aider :
Écrire un algorithme qui permet d’échanger le contenu de deux variables $a$ et $b$.
Après avoir réalisé la trace de cet algorithme avec a=17 et b=3, précisez ce que représentent a et i après exécution de algorithme
1 i←0 2 u←b 3 while a>=b 4 a←a-u 5 i←i+1
Écrire un algorithme qui dit si un nombre appartient à une liste ayant $n$ éléments. En sortie l'algorithme renvoie un booléen :
True
signifiant que la valeur est dans la liste False
sinon.
Voici un algorithme :
1 nb ← 0 2 n ← longueur de la liste 3 for i ← 0 to n-1 4 if liste[i]='a' then 5 nb ← nb + 1
Exécuter l'algorithme avec la liste liste=['r', 'a', 'd', 'a', 'r']
Expliquer ce que fait cet algorithme.
Exécuter l'algorithme avec la liste liste=['e', 's' , 't'].
Transformation de l'algorithme.
Transformer l'algorithme pour qu'il teste la présence de la lettre 'a'.
Transformation de l'algorithme.
On peut utiliser une instruction in
. Cette instruction est utilisée en PYTHON. Par exemple :
for elt in ['a', 'e', 'i']
va boucler pour tous les éléments de la liste. elt va prendre la valeur 'a', puis ensuite la valeur 'e', puis ensuite la valeur 'i'.
En utilisant cette nouvelle instruction, transformer l'algorithme pour qu'il teste la présence d'une voyelle.
Transformation de l'algorithme.
Transformer l'algorithme pour qu'il compte le nombre de voyelles.
En pseudo-code, comme en Python, une chaîne de caractères est représentée par un ensemble de glyphes encadrés par ''
ou
par ""
.
Par exemple : "Il fait beau !" ou 'A5x@f.r' sont deux chaînes de caractères.
On peut accéder directement à un caractère de la chaîne en utilisant sa position de la chaîne en partant de 0.
Par exemple : si ch="Il fait beau !" alors ch[0]='I' , ch[4]='a' (car l'espace compte comme un caractère aussi), etc
On notera ici, comme dans le langage Pyhton, la concaténation de deux caractères 'a' et 'b' ainsi : 'a'+'b', ce qui donne comme résultat 'ab'
Proposer un table d'exécution pour l'algorithme suivant :
1 phrase ="arrêt" 2 lettre ← 'r' 3 fin ← '' 4 for elt in phrase 5 if elt <> lettre then 6 fin ← fin + elt
<>
signifie "différent de".
L'algorithme précédent a été modifié. Que fait ce nouvel algorithme présenté ci-dessous ?
1 phrase ="C'est un trou de verdure où chante une rivière." 2 lettre ← 'r' 3 fin ← '' 4 for elt in phrase 5 if elt <> lettre then 6 fin ← fin + elt
Comment modifier l'algorithme précédent pour que la variable fin
soit égale à "rrrrr"
1. Faire une trace de l'algorithme suivant avec liste = [3,2,5,4,1] :
1 PG ← 0 2 IPG ← 0 3 n ← longueur de la liste 4 for i← 0 to n-1 5 if liste[i] > PG then 6 PG ← liste[i] 7 IPG ← i
2. Que fait cet algorithme ? Que représentent les variables PG et IPG ?
Les corrections des exercices de cette partie sont disponibles sur le pdf disponible ici.
L'algorithme ci-dessous a pour but de calculer le prix à payer en fonction du nombre d'objets acheté d'un produit. Le produit coûte 2€50 pièce.
Corriger le pseudo-code suivant :
1 A est un entier et B est un réel. 2 Lire A 3 B prend la valeur 2.50A 4 ÉCRIRE B
Écrire un algorithme en pseudo code qui calcule la moyenne de cinq nombres $a$, $b$, $c$, $d$ et $e$. Le résultat sera stocké dans une variable $moy$.
Écrire un algorithme qui stocke dans une variable $min$ le minimum de deux variables $a$ et $b$ données.
la factorielle d'un nombre entier non nul (factorielle se note avec un $!$). Par exemple $4 ! = 4 \times 3 \times 2 \times 1 = 24$.
Ainsi, $1!=1$ et pour $n>1$ : $n ! = n \times (n-1) \times ... \times 2 \times 1 = n \times (n-1) !$ .
Écrire un algorithme qui demande un nombre entier $n$ non nul de départ, et qui calcule $n!$, c'est-à-dire le produit des entiers jusqu’à ce nombre $n$.
Écrire un algorithme qui stocke dans une variable $min$ le minimum de trois variables $a$, $b$ et $c$ données.
Pour définir un tableau/liste on écrira les élément entre crochets :
Le premier élément de la liste est le nombre 7 et le dernier élément est le nombre 9. Il y a 5 éléments dans cette liste.
Attention les cases sont numérotées à partir de 0. L’indice du nombre 3 est le nombre 0. L’indice du nombre 9 est le nombre 4. Nous verrons plus tard quelle en est la raison.
On peut utiliser les notations suivantes :
liste1[0]=7 ; liste1[1]=4 ; ………. ; liste1[4]=9
Écrire un algorithme en pseudo code qui renvoie le minimum $min$ des éléments d’une liste nommée $liste1$ ayant $n$ éléments.
Écrire une trace d'exécution en prenant la liste1 de l'exemple.
Une cuve d'eau a une contenance de $volume$ L.
En moyenne la cuve d'eau se remplit de 3L d'eau par jours. Proposer un algorithme qui demande à l'utilisateur la contenance $volume$, qui calcule le nombre de jours nécessaire pour le remplissage de la cube et qui affiche ce nombre.
Il faut actualiser la page pour changer de question. Propriétaire de la ressource : le site GeNumsi en licence CC BY_NC-SA
Attention : certaines questions sont difficiles à traiter avec un niveau débutant en informatique !
Il existe un mode de représentation des algorithmes sous forme d'organigrammes : Les algorigrammes
Vous pouvez vous rendre à l'adresse suivante : https://troumad.developpez.com/C/algorigrammes/
Il existe des logiciels permettant de réaliser des organigrammes (lucidchart, word, paint, etc)
Un exemple avec le site lucidchart
Vous pouvez réaliser un algorigramme d'un algorithme que vous avez traité dans le TD
Voici une liste de sites traitant de l'utilisation du pseudo code :
Les différents
auteurs mettent l'ensemble du site à disposition selon les termes de la licence Creative
Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0
International